Quelques mots de Belgique, en Pelerinage, en Laponie,
> C'est dur d'apprendre le langue français (None)
Ce n'est pas punissable de publier mauvais français en internet?
Je suis en train d'apprendre la langue française. Je ne puis pas écrire en français sans 1) mon dictionnaire finnois-français, 2) le dictionnaire de www.tv5.org, 3) le LanguageTool d'OpenOffice et 4) le correcteur de grammaire et d'orthographe BonPatron.com . Enfin une amie a corrigé les erreurs restantes. Je souhaite, que plus tard je possède en peu d'élégance de langue française.
> C'est dur d'apprendre le langue français > Bye bye Belgique (2010-10-dd)
Après les négociations plus de 100 jours on a failli de former un gouvernement. C'est normal, mais quand même.
Octobre 2010
En décembre 2006 la télévision francophone de Belgique a diffusé un faux reportage de la déclaration d'indépendance de la Flandre Bye Bye Belgium . Peu après l’émission sortait un livre Bye-Bye Belgium. C'était un documentaire sur l'enquête que Philippe Dutilleul a menée pour préparer sa docufiction. Dans son livre il raconte ses discussions avec plusieurs politiciens et professeurs des universités.
Parce que — malgré son titre — le livre était en français, je n'ai pas bien compris les nuances, mais j'ai compris que les conséquences de scission de Belgique ont été minutieusement réfléchi et on a trouvé que la scission serait très compliquée. Pour éviter les difficultés de fermer la Belgique et d’établir les états nouveaux on a projeté un état fédéral qui peut servir comme un parapluie pour les régions indépendantes. Peut-être que c'est la difficulté de la scission plus que la volonté de vivré ensemble qui a empêché la séparation de Belgique. On plaisant que 40% des flamands sont en faveur d'indépendance et le reste ne l'oppose pas.
Je ne peux pas bien expliquer ce qui passe en Belgique, mais je voudrais raconter quelle impression m'a fait la politique belge. Mon impression est une interprétation personnelle les petites choses que j'ai compris — ou mal compris — de ce que j'ai lu et entendu. L'audience jamais interprète une écriture exactement comme voulait l'écrivain, mais mon interprétation des articles politiques peut être totalement fausse parce que je ne comprends pas bien français. Comme je ne comprends pas du tout flamand, ma perspective et biaisé.
Au hasard j’ai trouvé une étude pour ceux qu’ils voulaient une approche plus scientifique: Les positions politiques des partis belges
Pourquoi personne peut-s'intéresser mes interprétations douteuses? À mon avis tout le monde créent ses opinions politiques en façon en peu irrationnel et sans information complète. Réellement je m'intéresse plus la méthode qu'on crée ses opinions politiques qu’un cas particulier. En suivant je présenterai en exagèrent les phénomènes qui à mon avis influencent nos interprétations.
On aime l'information qui va bien avec ses préjugés et on refuse l'information qui demande de réviser ses opinions. En mathématiques on fond ses épreuves sur les axiomes, mais dans la vie politique on fond ses justificatives sur ses préjuges personnelles. Les mathématiques sont si simples qu'on peut trouver les réglés formels pour les épreuves, mais dans la vie quotidienne chaque a créé sa façon personnelle de raisonnement. Ce pour ça que les mathématiciens peuvent parvenir à une entente, mais pas toujours les politiciens. Alors, on doit explorer les « axiomes » et les « réglés les épreuves » de son adversaire pour parvenir à une entente.
En case d’un conflit réel ou imaginaire je défendais mes intérêts. Je ne veux pas convenir que je suis une égoïste bien que ce soit normal. Je préfère croire que mon égoïsme est par exemple la loi principale d’évolution, mes actes égoïstes bénéficient tout le monde ou parce que ma culture est plus valable que les autres nous sommes justifiés d’avoir davantage. Je fausse mes « axiomes » et mes « réglés des épreuves » pour cacher mon égoïsme.
On crée les stéréotypes en généralisant quelques exceptions rares. Par exemple même si on n'aurait jamais discuté de politique avec un musulman on peut avoir un soupçon que tous les musulmans sont en faveur de terrorisme parce que les membres d'Al Qaida portent les vêtements traditionnels des musulmans et parce qu'il y a quelques imams fondamentalistes qui ne respecte pas les droits universels de l'homme. Au contraire, parce qu'on connait bon nombre de gens sympathiques occidentales, on ne peut pas croire que les pays occidentaux peuvent être injustes.
Je crois que le transfert — le phénomène psychologique introduit par Freud — a un effet sur toutes les relations humaines. Quand quelques éléments de notre présent ressemble quelques éléments de notre passe ils évoquent les mêmes émotions même si les situations seraient totalement différentes. Par exemple, je me conforme plus facilement les opinions des gens qui ressemblaient les gens sympathiques de mon enfance que les des gens qui évoquent des souvenirs désagréables.
Sentiment de justice des êtres humains est bien développé. C'est grave si je ressens qu'on a fait du tort à moi ou on ne me respecte pas comme égal. Je veux que tout le monde avouent la vérité que j’ai maltraité. Mais notre sentiment de justice est biaisé. Si quelqu'un prétendait que j'ai fait du tort à lui je pense qu'il exagérait ou même s'imaginait. Je peux lui conseiller d’oublier les anciennes bagatelles et se concentre sur l'avenir.
Au cours de l'évolution le genre humain a survécu en développent la tendance à la solidarité et la volonté à collaborer. Les individus ont une volonté « égoïste » de mener une vie confortable mais s'il y a une bonne confiance mutuelle, la réconciliation les intérêts des individus « égoïstes » est assez simple. Si on perd la confiance, la collaboration fructueuse devient une querelle ininterrompue.
Retournons-nous en la politique belge.
Dans l'État fédéral de Belgique il y a trois régions (Bruxelles, Flandre et Wallonie) et trois communautés (flamande, française et germanophone). Le Flandre est strictement unilingue — En Flandre on parle flamand. En Wallonie on parle française sauf dans un coin dans l'est où habitent les germanophones. Bruxelles est la seule région bilingue avec une grande majorité des francophones. Une explication en video
En avril 2010 le gouvernement de Belgique s’est brisé parce qu'il n'a pas trouvé une solution pour le problème de Bruxelles-Hal-Vilvoorde. Pendant tout l'été les politiciens ont négocié le programme de gouvernement. Ils ont discuté — pas beaucoup de Bruxelles-Hal-Vilvoorde — mais le financement les régions. Il y a une partie politique importante flamande qui veut que chaque région soit responsable son financement.
En début l'octobre ils ont fini de négocier. Je ne sais pas pourquoi. Est-ce que les francophones s'opposaient l’idée principal? Est-ce qu'on ne trouvait pas une réalisation agréable? Un grand changement comme ça peut produire grands ennuis par exemple pour les chômeurs. Le financement Bruxelles est un problème déjà aujourd'hui. Beaucoup les gens travaillent à Bruxelles, mais habitaient et payent ses impôts à Flandre.
Hier soir dans le journal télévisé on a parlé le problème de Bruxelles-Hal-Vilvoorde. Peut-être que c'est en nouveau un thème des négociations. Alors, qu'est-ce que c'est, Bruxelles-Hal-Vilvoorde.
Comme dans tous les grandes villes il y a aussi en Bruxelles ceux qui emménagent dans les communes voisines en continuent de travailler en ville. Or toutes les communes voisines de Bruxelles se trouvent en Flandre qui est une autre région fédérale où on parle flamand et où on vote les parties flamandes. Hal-Vilvorde est une zone flamande autour de Bruxelles où les francophones peuvent voter les candidates francophones bruxelloises dans les élections fédérales et où ils ont le droit au procès juridique en français.
Une partie des flamands trouvent que les francophones en Hal-Vilvorde — sinon aussi en Bruxelles — sont une tache d'huile sur le Flandre qu'on doit purifie. Ils demandent les francophones d'apprendre flamand et s’assimiler à la culture flamande. Les francophones en Hal-Vilvorde trouvent qu'ils doivent avoir les droits de une minorité linguistique. Bruxelles voudrait une partie d'impôt des gens qui travaillent en Bruxelles mais vivent en Flandre.
L'affrontement n'est pas violent, mais assez dur. Le gouverneur flamand a refusé de nommer quelques maires francophones même s'ils ont élu démocratiquement. On a refusé de vendre des maisons à francophones, on a rendu illisible les textes français sur les panneaux de direction. Dit les médias francophones.
Les flamands disent que les wallons ne veulent pas restructurer son économie, mais préfèrent la sécurité sociale payé par les flamands.
Qu'est-ce qu'est la cause d'affrontement? Je ne sais pas, mais il y a plusieurs causes imaginables.
Les flamands et les wallons vivent bien sépare. Les écoles, les médias et les parties politiques sont divisés par la langue. La séparation peut favoriser préjuges et populisme. D'un autre côté la diversité est une preuve d'autonomie tolérante.
Les flamands et les wallons ont les cultures différentes. La frontière entre l'Europe du nord et l'Europe du sud scinde la Belgique. On dit qu'un mélange des cultures est utile pour l'innovation, mais on sait que la collaboration entre des cultures peut être difficile.
Depuis combien de temps influence-t-il l'historie? Dans la Yougoslavie avant la guerre quelques politiciens populistes référaient sur les événements siècles dans le passé. Or en Afrique du Sud la réconciliation d'apartheid a déjà bien progressé. Pour comprendre un conflit on doit vivre en au milieu. Un observateur étranger qui ne parle même pas les langues des parties de conflit, ne peut obtenir aucune compréhension profonde. Toutefois, moins on sait plus on aime juger et conseiller.
Pendant l'antiquité la Belgique était la frontière de roman empire. Pendant Moyen Âge le commerce et la culture prospéraient dans la région. Malheureusement ce coin d'Europe – le Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et quelques territoires en France et en Allemagne de nos jours – était au milieu les grands pouvoirs laïques et religieuses. La région était surnomme de « champ de bataille de l'Europe ». Les rivalités compliquées que je n'ai pas bien étudié ont produit en 1830 la Belgique indépendant qui était dominée par la bourgeoisie francophone et où la seule langue utilisée dans la vie politique, administrative, judiciaire, enseignement et militaire était français.
Depuis 1830 il y a des conflits linguistiques. Peut-être que les francophones au pouvoir ont eu un complexe de supériorité et ils n'ont pas respecté la culture flamande comme égale à celle française. On dit que dans la sidérurgie — dont les usines se trouvaient en Wallonie — les flamands peuvent travailler seulement comme des ouvriers parce que le management présumait qu'ils n'étaient pas compétent au travail intellectuel.
Peu à peu le néerlandais a atteint le statut officiel. Pendant les années 60 la sidérurgie en Wallonie a décliné et aujourd'hui l'économie de Flandre est plus puissante que celle de Wallonie.
Bruxelles était une ville néerlandophone en 1830, mais comme capital elle attirait ceux qui voulaient et pouvaient être fonctionnaires — alors les francophones. En quelques générations des néerlandophones passaient au français pour s'avancer dans sa vie. Ils étaient bilingue mais suivant leurs enfants parlaient seulement français. Bien sûr il y a autres explications sur la francisation de Bruxelles. La population francophone a diffusé dans les endroits de Bruxelles.
La francisation de Bruxelles et ses endroits est la tache d'huile que les flamands séparatistes ont peur et qu'ils essayent de contenir.
Dans les affaires on dit qu’une vision engageante d’avenir est crucial pour la gestion du changement. Meilleur si la vision est créée par dialogue. Qu’est-ce qu’est la vision d’avenir de Belgique? Les médias parlent beaucoup plus les tactiques de la lutte linguistique que la vision d’avenir.
> C'est dur d'apprendre le langue français > En pèlerinage (2009-05-dd)
Pendant une semaine au début de mai nous – un groupe consistant en 23 personnes – avons marché dans une des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle au sud de la France. Un pèlerinage, c'est de méditer des affaires spirituelles, n'est ce pas ?
Mai 2009
Auparavant je savais seulement qu'il y a aux Pyrénées en Espagne un chemin de pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle qu'est une ville à nord-ouest coin d'Espagne. Je ne savais pas pourquoi la ville était importante. Je ne savais non plus qu'il y avait des chemins de pèlerinage aussi en France. Alors, j'ai consulté le Wikipédia. Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle
D'abord, c'était un lieu de culte druidique. Après les romans et les chrétiens y étaient venu. Vers l'800 un ermite a déclaré avoir eu dans son sommeil une révélation que le tombeau de Saint-Jacques – un des apôtres – était dans la ville. Bien que Saint-Jacques ait été tué à Jérusalem et le sommeil ait été la seule évidence, l'Église a proclamé que Saint-Jacques avait été enterré en Espagne.
Si j'ai bien compris la légende a été crée pour opposer les maures et les pèlerinages ont été encouragés pour renforcer la présence chrétienne en Espagne de nord. Saint-Jacques a été surnommé « le tueur de Maures » parce que selon une légende il a apparu dans les batailles contre les Maures. Saint Jacques combattant les Maures
Au Moyen Âge il n'y avait pas de chemins dédier pour le pèlerinage mais aujourd'hui il y en a. Il est possible que les randonnées contemporaines suivent les anciens itinéraires des pèlerinages. Comme les propriétaires bienveillants avaient réservé les sentiers pour les randonneurs, nous avons pu marcher dans les bordures des champs, au milieu des vignobles et vers des forêts. Nous avons même traversé les jardins de quelques fermés. Même que nous avons aussi marché dans petites rues, c'était une exception de rencontrer une voiture. Ce n'était aucun dérangement parce que les conducteurs étaient toujours attentionnés.
Le paysage de Midi-Pyrénées était formidable. Je viens de campagne en sud-ouest de Finlande et le paysage de Midi-Pyrénées avait des mêmes éléments que j'aimais à mon enfance. Notre maison – entourée de quelques bois – était au milieu de champs. Par ma fenêtre je pouvais voir une petite rivière qui coulait dans sa « vallée ». Il y avait petites collines, mais bien sûr j'ai rêvé de paysage plus grandiose. J'aimais voir des maisons de nos voisins à deux ou trois kilomètres de distance.
Alors, le paysage de Midi-Pyrénées avec ses hauteurs et endroits dégagés ne ressemblait pas au paysage de mon enfance, mais plutôt au paysage où j'aurais voulu vivre.
Comme à mon enfance les vacances d'école commençaient le premier juin, la nature de notre randonnée me faisait penser les étés de mon enfance. Petit à petit je me suis plongé à l'ambiance agréable d'étés de mon enfance.
En Finlande les fermiers emblavent ses champs en mai, on peut voir les champs verts en juin, les fermiers font les foins en juillet etc. En Midi-Pyrénées nous avons pu voir tout cela en début de mai.
Le bruit des tracteurs me rappelait ma fierté quand j'avais fait « les travaux des hommes » avec notre tracteur. Mon père travaillait hors de notre ferme et j'ai pu travailler dans nos champs. C'était génial de maîtriser la puissance du tracteur et voir le champ labouré. Quand tout allait bien le travail ne demandait pas beaucoup d'attention et on était libre de réfléchir et rêver.
Je ne suis pas (je n'étais pas) un gourmand. Je tiens un repas pour nourriture. Si c'est sain et ce n'a pas mauvais goût je suis content. Mais un dîner où j'ai eu un régal exceptionnel après l'autre a changé mon attitude. J'ai pris grand plaisir à chaque bouchée. Pourquoi pas de dîner tous les jours comme ca?
Pourquoi le chef choyait nous? Est-ce qu'il est avide et veut de plus en plus des clients? Est-ce qu'il a peur de perdre ses clients? C'est cela que dit la théorie économique. Mais peut-être qu'il a une grande fierté professionnelle ou peut-être qu'il est simplement un chef qui sait et aime préparer les bons repas.
Plusieurs fois nous mangions du foie gras qui est une spécialité de région. Le goût était formidable, mais à manger du foie gras c'est comme à avoir trop du beurre sur son pain. Si on ne force pas d'oies à manger trop, est-ce que le foie gras a le même goût mais moins de gras?
Notre randonnée était parfaite pour méditer des affaires spirituelles parce que nous n'étions pas obligés de penser aux aspects choses pratiques : tout a été organisé pour nous; Notre itinéraire, le logement, les dîners et l’occasion de faire des provisions.
En marchant en groupe on n'a pas besoin de penser ce qu'on devrait faire après : Ça suffit d'avancer pas à pas. On a l'esprit totalement libre de choses temporelles. On peut se détendre, abandonner son rôle quotidien et être spontané. (« Ce qui est spontané se produit par l'initiative propre d'un agent, sans être l'effet d'une cause extérieure, sans être une réaction ou une réponse à un stimulus quelconque. ») On trouve le sincère soi-même. On réfléchit sur les choses qui sont important à soi-même et on fait les choses qui sont adéquats à soi-même. Quand on n'est pas trop pressé on est créatif et on trouve les nouvelles perspectives à sa vie. Au contraire, quand on est pressé, on réagit impulsivement de façon formaliste. Ainsi dit les savants de l'esprit humain.
Et moi? Est-ce que j'ai eu les grandes idées créatifs à ma vie? Le premier matine je n'ai pas eu des pensées trop philosophiques ou spirituels: « Je trouve qu'à marcher améliore ma condition physique » « J'espère que ma taille s'arrête de grandir. » Mais sous mon souci à ma condition il y avait une faible sentiment que je ne suis pas plus un adolescent et après trente années je serai vieux. Après avoir marché quelques kilomètres j'étais content de ma condition physique. J'ai arrêté à penser et je jouissais simplement d'existence.
J'ai embrassé ma femme – spontanément. Lorsque je me détends, rien peut cacher mes vrais sentiments. Si nos enfants avaient été avec nous, ça aurait été une randonnée parfaite.
Les autres membres de notre groupe ont beaucoup parlé. Je n'ai pas tout compris, mais malgré ma mauvaise connaissance de la langue française j'ai eu l'impression que l'ambiance était formidable. Ça m'a fait de réfléchir. Les yogis indiens disent qu'on doit vider son esprit pendant la méditation. Je trouve que donner libre course à ses pensées produit les sensations et idées intéressants. Mais le plus amusant, le plus agréable et le plus important est de bavarder et de réfléchir ensemble.
> C'est dur d'apprendre le langue français > Au nord de l'union européenne (2009-10-dd)
Quand j'allais à l'école, après les grandes vacances nous avons toujours écrit une rédaction avec le titre mes vacances d'été. Donc, parce que j'ai recommencé mon cours de français, naturellement je vais écrire de mes vacances d'été.
Octobre 2009
J'ai visité la Laponie avec ma femme. C'est loin. Helsinki est loin, mais il faut encore huit heures pour aller en voiture de Helsinki à Rovaniemi. Mais c'était bien. Il faisait beau est le paysage finlandais de l'été me donnait la même sentiment heureuse que les grandes vacances de ma jeunesse.
Comment on peut passer le temps dans un chalet en Laponie?
Je trouve que le travail manuel – modéré – est comme une méditation. Ma femme aussi aime le travail manuel. Alors, nous avons haché du bois, coupé de la jonchère autour de notre ponton etc.
Tous les soirs nous sommes allés au sauna et nous nous sommes baignés dans le lac. Pendant plusieurs années je suis allé au sauna seulement s'il y avait un lac pour se baigner. Mais avant d'aller au sauna on doit le faire chauffer. On peut aller chercher des bois, faire le feu et apporter de l'eau.
Ma femme m'a réveillé pour l'aider à préparer le dîner.
Dans notre chalet nous avions des repas légers et simples par exemple de saumon et salade. Bien sûr nous avons aussi mangé des pommes de terres nouvelles avec hareng en conserve qui est un repas traditionnel d'été en Finlande. Nous avons du hareng en marinade de moutarde, d'oignon et d'aneth.
C'est un peu bizarre de manger du hareng en conserve en été, mais il y a une bonne explication. Dans les années de 1930 à 1950 les navires ont pêché le hareng en Atlantique du Nord et ils sont rentrés en Finlande en été quand il y avait les pommes de terres nouvelles. À cette époque on ne pouvait pas surgeler la pêche.
Comme petit déjeuner je prenais du café et du pain de seigle avec des hareng en conserve. Je ne sais pas si c'est un repas traditionnel finlandais, mais je l'aime bien.
Il y avait une petite bibliothèque dans le chalet. Au chalet on lit s'il pleut ou si on ne peut pas dormir. Pendant les soirs sombres d'hiver on lit aussi.
J'ai lu une histoire d'habitations anciennes dans les côtés de la rivière Kemijoki. Cela avait été beaucoup plus que l'élevage de rennes. On a décrit comme les pièges des pêcheurs avaient été détruit par les flottages des bois. On a décrit la vie des bûcherons. Au printemps il y avait des inondations qui ont détruit les petits champs. À cette époque Kemijoki était la rue principale de Laponie.
Le lendemain après avoir lu l'histoire, le ramoneur nous a rendu visite pour nettoyer les cheminées. Il était un vrai lapon. J'ai trouvé sa façon de parler et communiquer très intéressante : Imaginez-vous le contraire d'une monologue interactif et amicale — à une dialecte originale. Il n'était pas pressé. Il connaissait bien la vie de la famille de ma femme et la vie des voisins. Bien sûr il s'est souvenu toute es histoires de cheminées de chalet.
Après nos vacances à la télévision ils ont parfaitement imité la façon laponnaise de communiquer. Ma femme a trouvé que ce n'était rien de spécial.